Dans cette sculpture humaine d'une femme fière au corps brûlé, comme écorchée, j'ai voulu transmettre toute la sensibilité féminine. Cette céramique aux couleurs de feu, d'eau et d'ocre, est à la fois mutine, sensuelle, les détails de son corps suggèrent les blessures de la vie mais également la douceur et la sérénité.
Matière
:
grès chamotté, la pièce est engobée (porcelaine + oxydes) et subit une première cuisson. Puis je la rince avec des jus d'oxydes métalliques afin de faire ressortir les porosités et stries de terre.
Dans cette sculpture humaine d'une femme fière au corps brûlé, comme écorchée, j'ai voulu transmettre toute la sensibilité féminine. Cette céramique aux couleurs de feu, d'eau et d'ocre, est à la fois mutine, sensuelle, les détails de son corps suggèrent les blessures de la vie mais également la douceur et la sérénité.
Certificat d'authenticité:Oui
Dimensions:H 44 cm socle 9 x 8 cm
Installation:À poser
Pièce monumentale:Non
Convient pour l'extérieur:Non
Matière et usage
Réalisée en grès chamotté, recouvert par de nombreux engobes puis émaillée, cette céramique a subi plusieurs cuissons dont la dernière à 1250°. Sculpture à poser
Démarche artistique et technique
Marie-Madeleine Vitrolles sculpte la matière, modèle la terre, façonne des figures féminines aux silhouettes longilignes. Autodidacte passionnée, son travail évolue entre le représentation classique et l’épuration des formes. Elle a choisi la femme pour traduire des sentiments oscillants entre la vulnérabilité, la crainte de briser un fragile équilibre, l’impuissance et la force. Après le modelage du grès chamotté, la pièce est engobée (porcelaine + oxydes) et subit une première cuisson. Puis je la rince avec des jus d'oxydes métalliques afin de faire ressortir les porosités et stries de terre. Dernière étape, je procède à un léger émaillage et une deuxième cuisson à 1250°. La sculpture est fixée sur une plaque métallique équipée au dos d'un système de fixation pour l'accrocher.
Emballage et expédition
Il y a un double emballage, la sculpture est callée avec de la mousse dans une première boîte en bois qui sera placée dans un carton bien plus grand rempli de papier froissé.
Description
Matière et usage
Démarche artistique et technique
Emballage et expédition
Dans cette sculpture humaine d'une femme fière au corps brûlé, comme écorchée, j'ai voulu transmettre toute la sensibilité féminine. Cette céramique aux couleurs de feu, d'eau et d'ocre, est à la fois mutine, sensuelle, les détails de son corps suggèrent les blessures de la vie mais également la douceur et la sérénité.
Réalisée en grès chamotté, recouvert par de nombreux engobes puis émaillée, cette céramique a subi plusieurs cuissons dont la dernière à 1250°. Sculpture à poser
Marie-Madeleine Vitrolles sculpte la matière, modèle la terre, façonne des figures féminines aux silhouettes longilignes. Autodidacte passionnée, son travail évolue entre le représentation classique et l’épuration des formes. Elle a choisi la femme pour traduire des sentiments oscillants entre la vulnérabilité, la crainte de briser un fragile équilibre, l’impuissance et la force. Après le modelage du grès chamotté, la pièce est engobée (porcelaine + oxydes) et subit une première cuisson. Puis je la rince avec des jus d'oxydes métalliques afin de faire ressortir les porosités et stries de terre. Dernière étape, je procède à un léger émaillage et une deuxième cuisson à 1250°. La sculpture est fixée sur une plaque métallique équipée au dos d'un système de fixation pour l'accrocher.
Il y a un double emballage, la sculpture est callée avec de la mousse dans une première boîte en bois qui sera placée dans un carton bien plus grand rempli de papier froissé.
Tout a commencé par une rencontre avec la matière " Terre " : rugueuse ou douce, malléable et sensuelle.
Peu à peu, Marie-Madeleine Vitrolles a abordé l'univers de la céramique et choisi la femme pour traduire des sentiments oscillants entre la vulnérabilité, la crainte de briser un fragile équilibre, l'impuissance et la force ; sont nées alors des figures féminines longues, fières et sensuelles, aux corps brûlés, comme écorchés, mais qui gardent au fond d'elles un espoir.
Les traits des visages sont discrets ou inexistants, les bras, lorsqu'ils sont représentés très longs, les poitrines à peine esquissées, les hanches effacées et pourtant la grâce, les chevelures, la gestuelle très souple indiquent que ce sont bien des femmes.