Cette réalisation, représente un petit buste de femme intemporelle qui appartient à une série Les haïkus visuels
Matière
:
La sculpture est réalisé en grès chamotté blanc et subit plusieurs cuissons dont la dernière à 1250°. Puis elle est fixée sur un support métallique.
Cette réalisation, représente un petit buste de femme intemporelle qui appartient à une série Les haïkus visuels
Certificat d'authenticité:Oui
Dimensions:H 29 cm socle 8 x 8 cm
Installation:À poser
Pièce monumentale:Oui
Convient pour l'extérieur:Non
Matière et usage
Grès chamotté blanc, sculpture à poser
Démarche artistique et technique
Cette réalisation, représente un petit buste de femme intemporelle qui appartient à une série « Les haïkus visuels ». A partir d’un court poème japonais, j’imagine une scène qui rappelle la brièveté de l’existence. Je parle de la vie, de ce qui est là présent sous nos yeux, du plaisir des sens, de la profondeur et de la légèreté de l’être humain.
Emballage et expédition
C’est un double emballage. La sculpture est callée dans une première boîte qui est placée dans un carton plus grand rempli de papier froissé.
Description
Matière et usage
Démarche artistique et technique
Emballage et expédition
Cette réalisation, représente un petit buste de femme intemporelle qui appartient à une série Les haïkus visuels
Grès chamotté blanc, sculpture à poser
Cette réalisation, représente un petit buste de femme intemporelle qui appartient à une série « Les haïkus visuels ». A partir d’un court poème japonais, j’imagine une scène qui rappelle la brièveté de l’existence. Je parle de la vie, de ce qui est là présent sous nos yeux, du plaisir des sens, de la profondeur et de la légèreté de l’être humain.
C’est un double emballage. La sculpture est callée dans une première boîte qui est placée dans un carton plus grand rempli de papier froissé.
Tout a commencé par une rencontre avec la matière " Terre " : rugueuse ou douce, malléable et sensuelle.
Peu à peu, Marie-Madeleine Vitrolles a abordé l'univers de la céramique et choisi la femme pour traduire des sentiments oscillants entre la vulnérabilité, la crainte de briser un fragile équilibre, l'impuissance et la force ; sont nées alors des figures féminines longues, fières et sensuelles, aux corps brûlés, comme écorchés, mais qui gardent au fond d'elles un espoir.
Les traits des visages sont discrets ou inexistants, les bras, lorsqu'ils sont représentés très longs, les poitrines à peine esquissées, les hanches effacées et pourtant la grâce, les chevelures, la gestuelle très souple indiquent que ce sont bien des femmes.