Sculpture pièce unique en grès, oxydes et émail à la cendre sur socle en bois cuisson 1260°.
Certificat d'authenticité:Oui
Dimensions:H15xL6xP6cm
Installation:À poser
Pièce monumentale:Non
Convient pour l'extérieur:Oui
Type de création:Pièce unique
Matière et usage
Sculpture décorative
Démarche artistique et technique
DANS LE SILENCE DE L’ATELIER Dans le silence de l’atelier, je sculpte. J’ai plongé mes mains dans la terre à l’âge de 5 ans. Je modèle et grave dans l’argile de petites âmes chargées d’émotions. Prisonnières dans leur manteau, comme une seconde peau tatouée, scarifiée. Le visage est précis, le corps est évoqué. J’enveloppe mes personnages, tisse des cocons d’argile. Quand les regards de mes sculptures deviennent trop présents et les corps trop bavards, je retourne à la poésie des maisons, des arbres et des paysages. Un univers intime comme sorti d’un conte sans âge et sans époque où se mêlent douceur et mélancolie. L’imaginaire se confie à la matière.
Description
Matière et usage
Démarche artistique et technique
Sculpture pièce unique en grès, oxydes et émail à la cendre sur socle en bois cuisson 1260°.
Certificat d'authenticité:Oui
Dimensions:H15xL6xP6cm
Installation:À poser
Pièce monumentale:Non
Convient pour l'extérieur:Oui
Type de création:Pièce unique
Sculpture décorative
DANS LE SILENCE DE L’ATELIER Dans le silence de l’atelier, je sculpte. J’ai plongé mes mains dans la terre à l’âge de 5 ans. Je modèle et grave dans l’argile de petites âmes chargées d’émotions. Prisonnières dans leur manteau, comme une seconde peau tatouée, scarifiée. Le visage est précis, le corps est évoqué. J’enveloppe mes personnages, tisse des cocons d’argile. Quand les regards de mes sculptures deviennent trop présents et les corps trop bavards, je retourne à la poésie des maisons, des arbres et des paysages. Un univers intime comme sorti d’un conte sans âge et sans époque où se mêlent douceur et mélancolie. L’imaginaire se confie à la matière.
Dans le silence de l’atelier, je sculpte.
J’ai plongé mes mains dans la terre à l’âge de 5 ans.
Je modèle et grave dans l’argile de petites âmes chargées d’émotions. Prisonnières dans leur manteau, comme une seconde peau tatouée, scarifiée. Le visage est précis, le corps est évoqué.
J’enveloppe mes personnages, tisse des cocons d’argile.
Quand les regards de mes sculptures deviennent trop présents et les corps trop bavards, je retourne à la poésie des maisons, des arbres et des paysages.
Un univers intime comme sorti d’un conte sans âge et sans époque où se mêlent douceur et mélancolie.
L’imaginaire se confie à la matière.