ONE SHOT STUDIO

Maroquinier

Nord, Hauts-de-France

ONE SHOT STUDIO | EMPREINTES Paris
ONE SHOT STUDIO | EMPREINTES Paris
Démarche artistique et professionnelle
ONE SHOT STUDIO propose des pièces uniques en cuir, résultat d'un artisanat de qualité et d'inspirations éclectiques. L'esthétique de la marque allie élégance et une pointe de rébellion. La passion, la persévérance et le désir d'explorer les possibilités infinies du cuir m'ont guidée du vêtement à la maroquinerie, puis à la création d'objets du quotidien. Chaque création, façonnée dans mon atelier Lillois, devient une pièce unique, imprégnée d'une passion pour les belles matières, les finitions minutieuses et l'histoire qui les accompagne. Cette démarche artistique incarne non seulement la créativité, mais aussi un engagement envers un mode de vie où l'artisanat et la durabilité trouvent leur place dans un monde de la mode souvent dominé par l'éphémère.
Son parcours
Passionnée des belles matières, finitions et objets qui ont une âme depuis mon plus jeune âge, je n'ai pas tout de suite décidé de faire de ma passion mon métier. Après un BAC S obtenu en 2012, je me suis dirigé vers un BTS Opticien Lunetier pour la beauté de l'objet qu'est une lunette. Diplôme en poche, déçue de mes premières expériences en boutique et ma passion pour le vêtement non comblé, je suis partie à ESMOD Roubaix me former en stylisme et modélisme où mon amour pour le cuir s'est épanoui dès la première année. Pour cette collection, j'ai d'ailleurs collaboré avec une étudiante de l'école Lesage. J'ai dessiné les pièces, réalisé le modélisme, choisi les matières, dessiné les broderies, elle les a réalisées (broderies paillettes et perles au crochet de Lunéville sur organza de soie, satin de soie ou encore cuir d'agneau plongé). Puis, j'ai assemblé les pièces sur ma petite machine ménagère qui a su supporter l'agneau. À la fin de mes études en 2017, je me suis envolée pour 9 mois à Los Angeles chez la marque controversée " Enfants Riches Déprimés ". J'ai été assistante styliste, la production se faisait en interne, c'est là que j'ai découvert et appris le travail du cuir autrement : l'univers de la maroquinerie et les " vraies " machines pour le cuir. Sur mon temps libre, j'ai commencé à chiner de vieux perfecto en cuir vintage que je choisissais minutieusement pour leur coupe et patine sur les " Flea Market " de Californie. Je me suis dit "dès que je rentre en France, j'en fais quelque chose". En 2018, j'ai investi dans ma première machine industrielle JUKI à double entraînement et j'ai réalisé les premières revalorisations de pièces rapportées de Los Angeles : je les nettoie, les démonte pour les modifier si besoin (récupérer les manches pour en faire des fronces...), les sublime si besoin (broderie, applications, incrustations...) et je change la doublure défraichie contre une neuve de qualité (satin de soie matelassé, lainage tout droit venu d'Écosse...). Les vestes " JACKIE " sont nées. Quelque temps plus tard, je réalise mon premier sac banane que je nomme " FANNY " et me spécialise dans les damiers. Voulant développer d'autres produits et améliorer mes finitions en maroquinerie, je décide de me former en septembre 2021 à ce savoir-faire pour compléter mes compétences déjà acquises.
Démarche artistique et professionnelle Son parcours

ONE SHOT STUDIO propose des pièces uniques en cuir, résultat d'un artisanat de qualité et d'inspirations éclectiques. L'esthétique de la marque allie élégance et une pointe de rébellion. La passion, la persévérance et le désir d'explorer les possibilités infinies du cuir m'ont guidée du vêtement à la maroquinerie, puis à la création d'objets du quotidien. Chaque création, façonnée dans mon atelier Lillois, devient une pièce unique, imprégnée d'une passion pour les belles matières, les finitions minutieuses et l'histoire qui les accompagne. Cette démarche artistique incarne non seulement la créativité, mais aussi un engagement envers un mode de vie où l'artisanat et la durabilité trouvent leur place dans un monde de la mode souvent dominé par l'éphémère.

Passionnée des belles matières, finitions et objets qui ont une âme depuis mon plus jeune âge, je n'ai pas tout de suite décidé de faire de ma passion mon métier. Après un BAC S obtenu en 2012, je me suis dirigé vers un BTS Opticien Lunetier pour la beauté de l'objet qu'est une lunette. Diplôme en poche, déçue de mes premières expériences en boutique et ma passion pour le vêtement non comblé, je suis partie à ESMOD Roubaix me former en stylisme et modélisme où mon amour pour le cuir s'est épanoui dès la première année. Pour cette collection, j'ai d'ailleurs collaboré avec une étudiante de l'école Lesage. J'ai dessiné les pièces, réalisé le modélisme, choisi les matières, dessiné les broderies, elle les a réalisées (broderies paillettes et perles au crochet de Lunéville sur organza de soie, satin de soie ou encore cuir d'agneau plongé). Puis, j'ai assemblé les pièces sur ma petite machine ménagère qui a su supporter l'agneau. À la fin de mes études en 2017, je me suis envolée pour 9 mois à Los Angeles chez la marque controversée " Enfants Riches Déprimés ". J'ai été assistante styliste, la production se faisait en interne, c'est là que j'ai découvert et appris le travail du cuir autrement : l'univers de la maroquinerie et les " vraies " machines pour le cuir. Sur mon temps libre, j'ai commencé à chiner de vieux perfecto en cuir vintage que je choisissais minutieusement pour leur coupe et patine sur les " Flea Market " de Californie. Je me suis dit "dès que je rentre en France, j'en fais quelque chose". En 2018, j'ai investi dans ma première machine industrielle JUKI à double entraînement et j'ai réalisé les premières revalorisations de pièces rapportées de Los Angeles : je les nettoie, les démonte pour les modifier si besoin (récupérer les manches pour en faire des fronces...), les sublime si besoin (broderie, applications, incrustations...) et je change la doublure défraichie contre une neuve de qualité (satin de soie matelassé, lainage tout droit venu d'Écosse...). Les vestes " JACKIE " sont nées. Quelque temps plus tard, je réalise mon premier sac banane que je nomme " FANNY " et me spécialise dans les damiers. Voulant développer d'autres produits et améliorer mes finitions en maroquinerie, je décide de me former en septembre 2021 à ce savoir-faire pour compléter mes compétences déjà acquises.

Ses créations

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