Depuis 25 ans, Jean Pascal Lheureux torture le bois dans tous les sens inspiré par les fossiles et les coquillages polis et patinés par le temps, il crée des sculptures, panneaux muraux et du mobilier contemporain, principalement en frêne.
C’est la veine du bois qui saute tout d’abord aux yeux, plutôt que sa couleur qui disparaît sous le chalumeau, la patine ou la laque. Au point qu’au premier coup d’œil, on pense que certaines pièces sont en céramique.
Son travail en lien avec des lignes épurées lui permettent de trouver sa place aux quatre coins du monde de New York à Chamonix en passant par Bruxelles ou Séoul. Les entreprises du patrimoine font aussi appels à lui pour réaliser des prototypes de sculptures et vases en treillage, comme celui qu’il a recrée pour le Waux-Hall.